En prévention, le frottis de dépistage du cancer du col de l'utérus est un examen essentiel. Même avec l'âge. Selon une étude réalisée par l'institut national du cancer, quatre femmes sur dix ne font pas de frottis régulièrement. C'est plus particulièrement le cas après 45 ans. Et après 55 ans, vous êtes même la moitié à ne pas le faire.
En cause : le suivi gynécologique devenant moins régulier au moment de la ménopause notamment ; l'absence de rapports sexuels ou de moyen de contraception. Or, même avec l'âge, vous n'êtes pas à l'abri d'un cancer du col de l'utérus.
Il va se développer à la suite d'une infection chronique par des papillomavirus (HPV), transmise par voie sexuelle. Mais son évolution est lente : l'apparition de lésions, la plupart du temps sans symptôme, peut se faire au bout de nombreuses années (dix à quinze en moyenne). D'où l'importance de continuer la surveillance.
Non douloureux, le frottis consiste à prélever des cellules au niveau du col de l'utérus pour analyse. Il permet de détecter des lésions précancéreuses avant qu'elles n'évoluent vers un cancer ou un cancer débutant. Ainsi, la maladie peut être prévenue ou, à un stade précoce, guérie plus de neuf fois sur dix avec des traitements moins agressifs que si le cancer est découvert plus tardivement.
Frottis de dépistage
En cause : le suivi gynécologique devenant moins régulier au moment de la ménopause notamment ; l'absence de rapports sexuels ou de moyen de contraception. Or, même avec l'âge, vous n'êtes pas à l'abri d'un cancer du col de l'utérus.
Il va se développer à la suite d'une infection chronique par des papillomavirus (HPV), transmise par voie sexuelle. Mais son évolution est lente : l'apparition de lésions, la plupart du temps sans symptôme, peut se faire au bout de nombreuses années (dix à quinze en moyenne). D'où l'importance de continuer la surveillance.
Non douloureux, le frottis consiste à prélever des cellules au niveau du col de l'utérus pour analyse. Il permet de détecter des lésions précancéreuses avant qu'elles n'évoluent vers un cancer ou un cancer débutant. Ainsi, la maladie peut être prévenue ou, à un stade précoce, guérie plus de neuf fois sur dix avec des traitements moins agressifs que si le cancer est découvert plus tardivement.
Un frottis tous les trois ans
À partir de 25 ans (y compris pour les jeunes femmes ayant été vaccinées contre le HPV, la vaccination ne protégeant pas à 100%), un frottis est recommandé tous les trois ans, ce jusqu'à l'âge de 65 ans.
Si vous n'êtes pas suivie par un gynécologue, demandez à votre médecin généraliste s'il pratique lui-même cet examen. Si ce n'est pas le cas, il peut alors vous orienter vers un spécialiste ou une structure qui réalise le frottis de dépistage (centre de santé, laboratoire d'analyses), avec une ordonnance.
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